Venez visiter et partager le site officiel de la campagne Alèsienne menée par Jean-Michel Suau, avec Ghislaine Soulet, Xavier Aliot, Marianne Lemal, Thomas Champigny et Georges Fernandez du Parti de Gauche.
Communiqué de Presse Comité de l’Uzège
Mise au point : communiqué du Parti de Gauche – Comité de l’Uzège
« Ensemble Pour Uzès » est bien
LA LISTE OFFICIELLE DU PARTI SOCIALISTE
Nous voilà donc arrivés au terme des grandes manœuvres : « ENSEMBLE POUR UZES » révèle enfin être la liste officielle du parti au pouvoir, le PARTI SOCIALISTE, celui de Hollande.
Le soutien public, affiché, tonitruant, du conseiller général BOUAD et celui du député CAVARD en attestent sans l’ombre d’un doute. Il n’aura également échappé à personne sur la place que « tout » ce que l’Uzège compte d’adhérents au PCF accompagne massivement cette forfaiture, pour quelques strapontins. Pour eux : exit le FRONT DE GAUCHE !
Pour nous, Il ne s’agit pas de glaner, à toute force et à n’importe quel prix, quelques élu(e)s locaux dans le cadre d’accords électoraux comptables. Nos orientations, et les programmes qui en résultent, ne sont pas solubles avec les listes social-libérales.
Dans le brouhaha et la confusion des étiquettes, auxquels nous ne participons pas, notre ambition unique est d’éclairer les 12,9% d’électeurs qui en 2012 à Uzès se sont déterminés pour une rupture sans équivoque avec les politiques de droite. Et également tous ceux qui, à gauche, ont cru aux promesses électorales de changement du parti de Hollande, Cavard-Bouad. Pour autant, nous n’ajouterons pas à la surenchère, en présentant une énième liste qui offrirait un boulevard aux sortants.
Nous soutiendrons celles et ceux qui, dans un pays où la finance domine et le mensonge règne, ont pour principales préoccupations de :
Sortir la finance de la gestion municipale, pour favoriser l’augmentation du pouvoir d’achat des familles et la création d’emplois,
Mettre en œuvre une politique qui favorise le bien vivre ensemble et qui donne envie au citoyen de se réapproprier la commune,
Uzès n’est pas un îlot coupé des réalités extérieures, qui pourrait se complaire dans la seule résolution de ses affaires internes. « Ensemble pour Uzès » offre une virginité à bon compte aux « élites locales » qui, à l’échelon national, étouffent les communes pour obéir servilement aux injonctions de la commission européenne.
LE PARTI DE GAUCHE
Comité de l’Uzège
Rencontre avec Alexis Tsipras
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Alexis Tsipras, chef de file de la coalition grecque Syriza, a commencé son
déplacement en France par une rencontre avec une délégation du Parti de Gauche emmenée par les co-présidents Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard.
Alexis Tsipras s’est dit « très heureux » d’être présent au siège du parti
de Jean-Luc Mélenchon dont la campagne présidentielle a marqué pour lui un
temps fort de l’essor de l’autre gauche européenne depuis 2012.
Il existe un large accord entre Syriza et le Parti de Gauche sur le contenu
de la campagne au prochaines européennes : une claire rupture avec
libéralisme et la social-démoratie qui dirigent main dans la main l’Europe
austéritaire. Alexis Tsipras a proposé pour cela à Jean-Luc Mélenchon la
tenue d’un meeting commun à Athènes.
Cet échange nous renforce dans notre choix de la candidature d’Alexis
Tsipras à la présidence de la commission européenne, comme signe qu’une
véritable bifurcation est possible dans tout le continent. Nous avons
insisté sur la dimension écosocialiste de celle-ci, conviction qui réunit
également nos deux partis qui ont convenu d’intensifier leur travail commun.
Lettre de J-L Mélenchon et M. Billard à F. Hollande – See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/actualite/turquie-lettre-j-melenchon-m-billard-f-hollande-26673#sthash.1Wk9Ayru.dpuf
François Hollande est arrivé, lundi 27 janvier en Turquie pour une visite d’Etat, la première d’un Président de la République Française dans ce pays depuis vingt-deux ans. Cette visite intervient au moment où le gouvernement turc traverse une crise politique et judiciaire sans précédent. En effet, les événements de la place Taksim en 2013 sont encore dans toutes les mémoires et récemment, trois ministres proches de R. Erdogan, rattrapés par des affaires de corruption, ont dû démissionner. Par ailleurs, la mobilisation en France autour de la sociologue Pinar Selek , qui vit en exil à Strasbourg après sa condamnation à vie au cours d’un procès où la justice a été bafouée, ne faiblit pas. Les deux co-présidents du Parti de Gauche, Martine Billard et Jean-Luc Mélenchon, ont écrit à François Hollande pour lui demander de relayer auprès des autorités turques, l’émoi sucité en France par la situation de Pinar Selek ainsi que de faire valoir nos valeurs de justice et de démocratie auprès de ses interlocuteurs.
Jours d’irresponsabilité
Les vœux de Hollande aux forces économiques auront finalement été des vœux au MEDEF et à lui seul. Les dirigeants syndicaux présents à l’Elysée ont reçu le discours présidentiel comme une gifle. Au sortir de la salle, le secrétaire général de la CFDT ne cherchait même pas à cacher sa colère : « il est hors de question que, d’un côté, il y ait des allégements de charges et, de l’autre, rien du tout ». Le président de la République venait de complaire à Gattaz et ses amis en renonçant à toute contrepartie chiffrée aux milliards d’exonérations de cotisations qu’ils empocheront.
Un Ps au centre, une droite bousculée: L’opposition de gauche est indispensable
« La droite a gagné la bataille des idées. Parce que la notion de compétitivité, le fait que l’emploi se crée en entreprise, le fait qu’il faille baisser le coût du travail, le fait qu’il faille baisser la dépense publique se sont désormais imposés comme les thèmes prioritaires de la politique de notre pays ». Tout est dit par Valérie Pécresse, ancienne ministre du Budget de Sarkozy. Elle pourrait ajouter que Moscovici n’a rien trouvé de mieux que de retirer les Bermudes et Jersey de la liste des paradis fiscaux. Dans ce contexte la droite a du mal à se situer. Et comme le dit si bien P. Moscovici « Ce que François Hollande souhaite… c’est, pourquoi pas, créer des majorités d’idées. C’est une politique de rassemblement large. »